Rena Ryûgû

~ -R E N A --R Y Û G Û- ~

Rena Ryûgû Renac1bh

Nom: Ryûgû

Prénom: Rena

Age: 16

Race: Démon de l'ombre

Spécialisation en combat: Corps à corps.

Arme et pouvoirs: Pouvoirs des démons de l'Ombre en général, plus une petite Hachette.

Alignement: Cahotique Neutre

Caractère: Rena n'est pas une fille commune, et contrairement à son apparence, elle n'est pas gentille, ni stupide. Lors de son enfance, Rena a toujours été renfermée sur elle-même. Les enfants du village la surnommait "La fille du démon". Bien que ses parents n'aient pas apprécié ce surnom, il ne dérangeait absolument pas Rena, qui venait même à l'utilisé tout les jours lorsqu'elle parlait d'elle aux autres. Aujourd'hui par contre, Rena est beaucoups plus joyeuse, mais cela ne veux pas dire qu'elle apprécie les autres. Elle est Sadique et espiègle, et aime jouer avec les gens. Une chose qui la caractérise vraiment, est le fait que dès qu'elle vois quelque chose de "mignion" (Mignion pour elle bien sûr. Si elle dit qu'un squelette est mignion, il ne faut pas chercher à comprendre), elle se transforme et devient une jeune fille "normale", qui veut seulement ramener la chose "mignionne" chez elle. Mais lorsqu'elle est dans cet état, il ne faut surtout pas l'approchée de trop près et esseyer de la calmer ou de lui prendre la chose en question.

Physique: Rena est rousse, cheveux mi-courts, mi-longs. Elle a les yeux bleu, et ses pupilles sont en fentes, comme celles des chats. Elle porte une robe blanche ainsi qu'un petit noeud papillon violet sur sa poitrine, et un autre dans le bas du dos. Elle porte aussi des bottes brunes à talons, et des brassards bleus. Elle ne se sépare jamais de son petit bonnet blanc qu'elle affectionne beaucoup. Rena est une jeune fille très développée, et ont peut donc dire qu'elle possède une assez grosse poitrine. Sa peau est blanche, ce qui fait ressortir ses lèvres et ses yeux.

Histoire: Rena est née dans un petit village du nom d'Hinamizawa. Il est aussi connu actuellement sous le nom de " Village Sanglant ". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Hinamizawa était autrefois un petit village calme et paisible, connu dans la région la forêt verdoyante qui l'entourait et le protégeait de bien des choses. Hinamizawa est un village qui n'est pas très éloigné de Silzer.Mais aujourd'hui, tout le village n'est que ruines baignées dans le sang, à présent, plus personne n'ose approcher ce village qui semble maudit. Une enquête policière à été effectuée mais vite abandonnée et classer dans le dossier "Non-résolut", et ce définitivement. Pour tout le monde, cette affaire n'était due qu'à un malade mental meutrier.

Lors de la naissance de Rena, le village entier su presque immédiatement que Rena était spéciale. Dès son enfance, elle fit la démonstration d'étonnants pouvoirs. Elle seule, ainsi que ses parents, savait qu'elle ne pouvait pas les utilisés et qu'elle en ignorait le fonctionnement. Tous dans le village la craignaient et blêmissaient lorsqu'ils la voyait et si elle s'approchait trop près d'eux. Il n'y avait que ses parents qui, heureusement, l'acceptait. À cause de leur amour pour leur fille, ils se firent rejetés et haïs par tout le village. Ils déménagèrent et se construirent une petite cabane dans la forêt qui bordait le village. Pour Rena pourtant, peu important l'amour que lui apportaient ses parents, elle ne les avaient jamais aimés. Pour elle, ils étaient ceux qui l'avait mise au monde, et donc ceux qui l'avait obligée à subir toutes ces souffrances. Aussi, elle préférait de loin dormir dans les arbres ou au milieu d'une clairière au clair de Lune. La journée, elle se promenait constamment et visitait tous les alentours, bien sûr elle ne lachait pas sa hachette, qui était la seule chose à laquelle elle tenait. Rena avait trouver cette Hachette dans un petit coffret au pied d'un arbre dans lequel elle avait passé la nuit, et depuis elle arrivait à maîtrisé ses pouvoirs, car sans sa Hachette elle perdait peu à peu le contrôle d'elle-même. Lors de ses balades quotidienne, Rena allait souvent voir l'internat de Silzer. Bien qu'il soit loin, ce n'était pas un problème pour Rena qui aimait parcourir de longues distances, de nuit comme de jour. L'observer lui semblait insuffisant, mais lorsque Rena esseya de s'y introduire, une sorte de barrière invisible l'en empêcha, il lui semblait aussi que cette barrière empêchait intrusion, comme sortie. Elle rentra chez elle, déçue. Rena s'entrainait sans cesse à se battre avec sa hachette, et survivait comme elle le pouvait sans l'aide ni le réconfort de ses parents, et c'est lors de ses 16 ans, Rena était partie très loin dans la forêt, qu'elle trouva une toute petite créature abandonnée et rejetée par ses semblables, sans doute car elle était trop faible. C'était une hermine blessée, sur le point de mourir. Sans savoir pourquoi, Rena se trouva proche et semblable à cette petite chose différente des autres, elle la pris alors et voulu la soignée. Mais elle ne possédait ni pouvoirs ni objets capables de soigné l'hermine, elle se résolut donc à aller au village quémender de l'aide. Alors qu'elle était arrivée au village et qu'elle se dirigeait vers le vétérinaire, une bande de gamins se rassemblèrent autour d'elle et de la pauvre hermine dans ses bras, blessée à la patte arrière droite. Rena s'étonna, car dès lors qu'elle était arrivée dans le vilage, les villagois s'étaient empressés de s'enfermer dans leurs maisons. Un gamin, qui semblait être le chef, s'adressa d'une voix tremblante mais pleine de volonté à Rena :

- Que fais-tu donc içi, sale démone ? Ne sais-tu donc pas que tu n'es pas la bienvenue au village et que tu ne le sauras jamais ?

Rena pris la parole, la gorge enrouée car elle ne parlait jamais. Lorsque le son de sa voix sortit, le garçon tressaillit.

- Bien sûr que si, mais crois-tu une seule seconde vous pouvez me menacer impunément ?

Rena brandit sa hachette sous le regard des enfants mortifiés, mais au lieu d'attaquer l'enfant qui se dressait devant elle et qui devant être à pein plus jeune qu'elle, elle éleva la hachette au niveau de sa bouche et lécha la partie coupante en posant un regard sadique sur la petite bande qui tressaillit. Seul le chef ne trembla pas en voyant Rena faire ce geste si peu commun et en voyant son sang dégouliner sur sa hachette, ce sang qui provenait de la petite coupure qu'elle venait de se faire à la langue. Le gamin fit un signe à un autre derrière Rena, qui se fit soudain bousculée. Les enfants lui sautèrent tous dessus et prirent l'hermine blessée des bras de Rena, puis le chef de la petite bande se placa devant Rena, qui était maintenant couchée sur le sol boueux avec au moins une dizaine d'enfants qui l'empêchait de bouger et de se relever, et se mit à battre violemment la petite hermine qui gémissait et se débattait. Rena entendait le rire de tous ces enfants meurtriers, ainsi que les gémissements de cette petite hermine qui lui semblait si proche d'elle-même. Tous ces sons résonnaient dans sa tête. Goutte après goutte, le sang de l'hermine tombait sur le sol, se mêlant à la pluie. Rena, qui avait relevé la tête, était comme hypnotisée par tous ces cris et les taches écarlates qu'elle voyait tombées. Elle ne semblait pas se rendre compte de ce qui était en train de lui arrivée, trop occupée à regarder les gouttes rouges et transparents tombées sur le sol. Les enfants qui la retenait sur le sol était en train de taper Rena de toutes leurs forces, de la tailladée et de lui déchirer ses vêtements, il y avait même une toute petite fille qui l'étranglait un grand sourire joyeux aux lèvres.

Rena repris soudain ses esprits et regarda autour d’elle en quête d’aide pour la première fois car la douleur insupportable, mais en regardant autour d’elle, tout ce qu’elle vit c’était des villageois qui regardaient en souriant la scène violente et anormale qui se déroulaient sous leurs yeux. Lorsque tourna une nouvelle fois la tête, son regarda se posa sur la petite créature chétive qu’elle avait amenée dans cet enfer et qui gisait un flaque de sang au pied du chef de la bande. Une colère irrépressible la gagna alors, et une force nouvelle la parcourait. Elle se releva sans problème en éjectant tous les enfants qui la maintenaient au sol, à plus de cinq mètres. Elle s’avança lentement vers l’enfant qui avait battu l’hermine, du sang coulait de ses nombreuses blessures et des hématomes commençaient déjà à se former. Ses vêtements qui n’étaient déjà pas très beaux ni magnifiques n’étaient plus que guenilles et lambeaux déchirer. Par de nombreux endroits ont pouvait voir sa peau blanche et ses coupures qui maculaient le tissu et le rendait écarlate. L’instinct de meurtre de Rena était maintenant réveillé. Le temps d’un clignement d’œil fut assez pour Rena, elle coupa l’enfant en deux, avec souplesse et rapidité. Il n’eut même pas mal, ce qui voulait dire que Rena voulait juste les massacrer, pas les torturer. Le sang l’éclaboussa et inonda son visage d’un liquide chaud et écarlate, pareil à ses vêtements et le reste de son corps. Rena s’arrêtât, et lécha le sang qui était accessible à sa langue sur son visage, ses yeux bleus avec ses pupilles en fentes reflétaient son envie de meurtre, encore et encore. Les enfants qui l’avait maintenue au sol et qui étaient rassemblés autour d’elle prirent peur, Rena n’avait jamais eu autant l’air d’un démon. Ils commencèrent à courir dans tous les sens, ce qui était une grossière erreur. Rena ne savait pas comment, mais des formes sombres se créèrent à partir de son ombre et prirent l’apparence de Rena. Les « clones d’ombre » s’avancèrent vers les enfants, et les tuèrent tous sans exception. Rena restait immobile, la pluie avait cessé. Elle se délectait des cris d’agonie qu’elle entendait et ses yeux effrayants brillaient, admirant le spectacle qui s’offrait à elle. Les clones de Rena s’étaient à présent mis à découpés et poursuivre le reste des villageois. Rena regardait ces adultes qui avaient ris lorsqu’elle était au sol, en train d’être blessée par leurs enfants, son sourire ne cessa de grandir ses yeux étaient exorbités. Lorsque le silence complet se fit, Rena s’approcha doucement de l’hermine dont l’état était la cause du massacre qui venait d’avoir lieu. Lorsque Rena la prit en main, l’hermine était froide, glaciale même. Elle aurait pût être juste trempée et fatiguée, mais le liquide rouge et les nombreuses coupures qui parsemaient le corps de la petite créature ne trompaient pas, l’hermine était morte. Pour la première fois, des larmes coulèrent des yeux de Rena qui n’avait plus d’envie meurtrière et était redevenue comme avant. Mais lorsqu’elle voulu prendre l’hermine dans ses bras, Rena remarqué que la majorité du sang perdu s’était principalement échappé d’une seule blessure. Lorsqu’elle voulu regarder de plus près, elle du retourner l’hermine, les intestins de celle-ci se répandirent sur le sol. Rena fut soudain prise de nausée et se mit à vomir en pleurant et en hurlant en même temps.

Une à deux heures plus tard, Rena se retrouvait dans la forêt au pied de son arbre préféré. A ses pieds, gisait la petite boule de poils qui ne ressemblait plus à rien, Rena l’avait baptisé « Star » et sur la pierre de la tombe qu’elle avait creusée était gravé ceci : « Because in my heart, you are my star. I could not not protected you. Rest for from these murderers forever. My only friend. » (Parceque dans mon cœur, tu es mon étoile. Je n’ai pas pu te protégée. Repose loin de ces meurtriers à jamais.) Sans qu’elle ne s’en rende compte, Rena avait fait la pierre tombale près de la cabane de ses parents, elle jetât un coup d’œil à cette « maison » presque en ruine, puis s’avança, la soif de tuer la reprit, elle ne pouvait se maîtriser. En entrant dans la maison, elle sentit un fumet qu’elle reconnaissait facilement. Sa Mère préparait à manger, d’après l’odeur sauvage, Rena reconnu que c’était du lapin. Ce qui signifiait que son Père rentrait de la chasse. Lorsque Rena avançât de quelques pas, le plancher qui était rongé par les années et l’humidité, craqua. Ses parents entrèrent aussitôt dans la pièce. Leurs yeux s’illuminèrent à la vue de Rena, pour s’éteindrent aussi tôt à la vu du sang sécher dont elle était recouverte et de toutes ses blessures. Ils voulurent s’approcher d’elle, lui demander ce qui s’était passer et si elle allait bien, mais Rena ne leur laissèrent pas le temps. En moins de dix secondes, leurs corps furent découpés en morceaux par leur fille. Alors qu’ils rendaient à la même seconde leur dernier souffle, ils purent entendre Rena leur dire « merci », des larmes coulant sur sa joue pleine de sang. Les yeux ouverts et effrayants, elle passa l’embrassure de la porte puis se dirigea vers le village qu’elle venait de décimé entièrement. Alors qu’elle s’approchait de l’ancienne entrée du village, elle s’aperçut que celui-ci était en feu. Un survivant avec sans doute voulu les corps répandus dans le village par respect pour ces concitoyens. Rena fit le tour du village pour trouver de la nourriture, car tout ce massacre lui avait donné faim, mais tout était en train de brûler. Elle ne trouvait pas non plus la personne qui avait mis le feu au village, elle supposa qu’il avait du se brûler avec pour ne pas avoir à supporter pendant toute sa vie ce qu’il venait de voir. Lorsqu’elle songea au corps du survivant, en train de brûler vif, elle vomit à nouveau. La faim au ventre, et submergée par la fatigue, Rena se mit à marcher pendant plusieurs jours, voir même des semaines car elle n’avait plus assez de vitalité, elle n’avait évidemment pas quitter sa hachette. Ne trouvant que peu de nourriture, elle avait à peine assez de force pour marcher. Si elle survivait, c’était grâce à ce qu’elle était, et au fait qu’elle avait l’habitude. Mais ses blessures pouvaient avoir raison d’elle, car elles commençaient à s’infectées. Au bout d’un moment qui lui sembla une éternité, elle arriva là ou ses pas l’avaient menée inconsciemment, l’internat de Silzer.

Arrivée devant la grille, elle l’ouvrit doucement, étonnée qu’elle puisse le faire alors qu’elle avait tant essayé avant, puis elle s’avançât vers la porte de l’entrée. Il ne pleuvait pas depuis plusieurs jours et Rena avait chaud, d’autant plus que cela faisait depuis avant le massacre qu’elle ne s’était pas lavée et qu’elle était pleine de sang sur tout le corps, et que ses vêtements étaient toujours déchirer. Elle poussa la porte devant elle, ne prenant même pas la peine de frapper. Elle entra, et après avoir fermer la porte, elle se dirigea immédiatement sur les escaliers où elle s’écroula, fatiguée et affamée. Elle serrait fermement sa hache en main, et décida de rester juste quelques temps pour se remettre de ses blessures, puis de repartir. Malheureusement, ce ne sera pas si simple…

Autre: / (J’éditerais si je trouve autre chose à dire.)

Niveau de RP:

- Amie... ?

Chinatsu ouvrit les yeux encore plus grand qu'il n'étaient, ses yeux si mauves et profonds, emplis de solitude et de chagrin. Elle les refermas ensuit, des larmes venaient toutes seules sans qu'elle ne pusse rien faire. Elle ne voulait pas les laissés sortir. Elle qui ne pleurais jamais avant, qu'avait donc fait cette école à sa bonne humeur forcée, à ses sourires joyeux qu'elle s'était obligée d'abordé. Mahora l'avait changée, mais ne l'avait pas aidée à se faire des amis, ni à briser sa solitude.

- Ha... Je ... Je... Non !

* Non, pas question que je me laisse aller, je ne veux pas ! Je suis seule, SEULE !!*

Chinatsu se mit debout, ses larmes coulants sur ses joues qui était ni rougie par le froid, ni par le gêne, mais par ses larmes et ses sentiments qui ne cessaient de monter en elle et qu'elle n'arrivait pas à refouler. Elle grimpa sur le muret, près du vide, et sautât sur une branche de l'arbre monde. Elle regarda en bas, Tamao qui levait les yeux d'un air étonné. Elle ne voulait pas qu'il vienne la chercher. Non, si en fait. Elle le souhaitait, elle souhaitait tout au fond d'elle même que quelqu’un s'attache à elle et l'apprécie. Elle ressentait la même chose qu'il était en train de ressentir.

* Un ami... *

Code: ~*~Edit By Mike~*~

~ Fiche finie. ~

Belle fiche!^^

Allez, je te valide même si le fait que tu ais dessimé un village toute seule me parait exagéré... Tu as fait une longue histoire, ce serais dégueulasse de te demander de recommencer...

Comme allignement je dirais... Cahotique Neutre

Validée

J'adooooooore mon alignement ! Smile

Merci.
Pour l'histoire, les villageois ne sont pas vraiment très doués quand il se font décimer et qu'ils n'ont pas l'habitude de se battre. xD

Oui mais tu es une démone de l'ombre n'ayant pas de grand lien envers Satan d'exposant aucun signe de lois, allant selon ses envie... Par contre, peut-être que ton alignement va changer durant ton séjour à l'internat... ( tu va surement devenir bonne ou mauvaise car il est dure d'être neutre dans cette histoire)

Je pencherais plutôt vers la deuxième possibilitée, vu que je vais être l'apprentie de Rikku... *.*"